Mauvaise réponse
Un bien non rival est un bien dont la consommation par un agent n’empêche pas sa consommation par un autre. Par exemple, profiter de l’éclairage public n’empêche pas un autre passant de faire de même. Un bien non excluable est un bien dont la consommation ne peut techniquement pas être empêchée. Par exemple, on ne peut pas interdire à un individu de respirer l’air qui l’entoure.
Les biens collectifs, ou biens collectifs purs, sont non excluables et non rivaux. Par exemple, personne ne peut économiquement m’empêcher de regarder un feu d’artifice dans le ciel, et je ne diminue pas la capacité des autres agents à faire de même. Les biens communs sont non excluables et rivaux. Par exemple, la pêche industrielle ne peut pas être empêchée dans les lieux où elle est légale, mais en cas de trop forte activité, elle détériore la biodiversité et empêche d’autres acteurs d’en profiter.
Cette situation peut mener à une surconsommation des ressources, que l’on nomme « tragédie des communs » ou « tragédie des biens communs ». En maximisant leur intérêt individuel, les agents nuisent à l’intérêt collectif en exploitant de manière non-durable les biens communs. Dans l’exemple de la pêche, la surpêche pénalise les pêcheurs locaux et toute la chaîne alimentaire dépendant du poisson surexploité.
Bonne réponse
Un bien non rival est un bien dont la consommation par un agent n’empêche pas sa consommation par un autre. Par exemple, profiter de l’éclairage public n’empêche pas un autre passant de faire de même. Un bien non excluable est un bien dont la consommation ne peut techniquement pas être empêchée. Par exemple, on ne peut pas interdire à un individu de respirer l’air qui l’entoure.
Les biens collectifs, ou biens collectifs purs, sont non excluables et non rivaux. Par exemple, personne ne peut économiquement m’empêcher de regarder un feu d’artifice dans le ciel, et je ne diminue pas la capacité des autres agents à faire de même. Les biens communs sont non excluables et rivaux. Par exemple, la pêche industrielle ne peut pas être empêchée dans les lieux où elle est légale, mais en cas de trop forte activité, elle détériore la biodiversité et empêche d’autres acteurs d’en profiter.
Cette situation peut mener à une surconsommation des ressources, que l’on nomme « tragédie des communs » ou « tragédie des biens communs ». En maximisant leur intérêt individuel, les agents nuisent à l’intérêt collectif en exploitant de manière non-durable les biens communs. Dans l’exemple de la pêche, la surpêche pénalise les pêcheurs locaux et toute la chaîne alimentaire dépendant du poisson surexploité.
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